Ton regard
Sur ton corps un jour de juin
J’ai posé mes yeux d’enfants
Et mon coeur encore ignorant
Connut l’Amour et ses chagrins
De ton regard ensorcelant
Il ne me reste que le souvenir
Dont mes yeux d’adolescent
N’ont pas su se dessaisir
Contre mon coeur un jour de juin
J’ai rêvé de te serrer
J’ai essayé mais en vain
Car tu ne m’as jamais aimé
Tu ne me parlais que d’Amitié
Quand moi je rêvais d’Amour
Et dans ton coeur sans pitié
Je n’étais qu’un troubadour
Ph. GUERARD 1980
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